︵‿୨❤️୧‿︵𝕭𝖎𝖊𝖓𝖛𝖊𝖎𝖑𝖑𝖆𝖓𝖈𝖊 𝖆𝖛𝖊𝖈 𝖒𝖔𝖎-𝖒ê𝖒𝖊︵‿୨❤️୧‿︵
Entre tes envies, tes doutes, tes valeurs, ta façon d’appréhender le monde, ce que tu souhaites être et faire… tu es parfois (trop) dur.e avec toi-même.
« Je ne suis pas assez ceci » ou encore « Je suis trop cela » quand ce n’est pas des « Je suis nul.le », « Je suis stupide », « Je suis incompétent »… combien de fois par jour te juges-tu ? Qu’est ce que cela t »apporte de toujours observer tes avancées, pointer du doigt tes imperfections ? Parfois, cela peut te permettre de te remettre en question, de voir où tu en es, de pouvoir ajuster tes comportements pour mieux réaliser tes objectifs, certes. Cependant, ne pourrais-tu pas le faire comme une personne extérieure, sans pression, sans jugement ? Qu’est ce que cela changerait si tu te lâchais la grappe ? Si tu adoptais la bienveillance avec toi-même ? Un enfant se juge t’il d’avoir fait une bêtise ? De ne pas avoir compris quelque chose ?
Ce que je te propose c’est d’observer sans te juger. Exemple : tu procrastines depuis trop longtemps sur un projet qui te tient à cœur. Tu ressens peut-être de la culpabilité, de la colère, de la tristesse, de la honte ce qui entraîne une mauvaise estime de toi. Accepte ces émotions et laisse-les passer. Nous sommes humains.
Maintenant, je te propose de regarder les choses sous un autre angle : quel(s) besoin(s) plus important avais-tu à satisfaire qui fait que tu as repoussé cette tâche ? (Maslow met en évidence une échelle des besoins) Quelles sont les conséquences du report de cette tâche ? L’important n’est-il pas d’être en vie, en pleine santé ?
Je t’invite à relativiser et à être à l’écoute de tes vrais besoins.
Je t’envoie plein de paillettes à appliquer comme un baume d’amour et de bienveillance
Fanny