Combien de fois aimerions-nous être des sur-hommes, des sur-femmes ?
Notre humanité avec son lot de défauts est parfois source de dévalorisation… de soi et également des autres… Et si nous apprenions à être bienveillants envers nous-même et envers les autres ? Accepter nos parfaites imperfections ? Si on apprenait à ne plus juger ?
Je vous parle d’un de mes défauts et comment le travail que j’avais entrepris pour le transformer s’est avéré me conduire à son acceptation.
Et vous, où en êtes-vous avec votre humanité ? Avez-vous accepté vos défauts, vos part d’ombres ? Et celles des autres, les acceptez-vous ?